Depuis 2002, Laurent Ruquier et Roselyne Bachelot se détestent!! Mais pourquoi?! A 50 ans, cette figure incontournable du PAF assume plus que jamais son envie d’en découdre avec cette dernière. En effet, l’animateur français n’a pas enterré la hache de guerre et passe à l’offensive en clashant méchamment la chroniqueuse de 62 ans sur son bouquin “On préfère en rire”. Cette guerre froide ouverte date de Mathusalem. Les premiers échanges peu cordiaux entre les deux personnalités sont à l’initiative de Laurent Ruquier. L’animateur a été le premier a ouvrir le bal lors de l’émission “On Va S’Gêner” : “Roselyne Bachelot n’est pas présente dans sa fonction de ministre, on lui dit de se taire, et en femme qui se respecte, elle a écouté”. Le chroniqueur Christophe Alévêque en a même rajouté une couche à l’antenne : “Elle doit être excitante au lit car quand elle parle ou qu’elle crie on a l’impression qu’elle jouit” déclare-t-il partagé entre l’amusement et l’agacement.
Sa rivale de toujours explique qu’elle “vivait avec une combativité encore plus déployée. Est-ce que je suis victime d’attaques sexistes et politiques ? Les deux. Et le sexisme est en général une arme qui est utilisée par les médiocres dans les combats politiques”, avait-elle dit de manière indignée, dans les colonnes du Monde. Les excuses du présentateur ne furent pas acceptées par la principale intéressée, qui avait confié se trouver “dans un choc profond devant une agression aussi lâche”. La femme politique dit avoir “reçu un coup de poing en pleine figure”. Face aux critiques acerbes du journaliste, la chroniqueuse, désormais intervenante chez D8, ne veut plus jamais entendre parler de Ruquier. Les propos du quinquagénaire ont excédé Madame Bachelot.
Dans le magazine Télé Loisirs de cette semaine, le producteur de télévision règle ses comptes : “J’ai un vrai problème avec madame Bachelot. Elle a utilisé une mésaventure personnelle comme moyen de défense, à une époque où elle était en mauvaise position dans son ministère. Ce n’est pas quelqu’un de très bien. Quand elle était sous Chirac, Chirac était formidable, mais dès qu’il a eu ses problèmes de santé, elle l’a quitté. Pareil pour Sarkozy. Dès qu’elle tourne le dos à quelqu’un, paf ! Je ne voudrais pas être à la place de Laurence Ferrari : je ne sais pas ce qu’elle dira lorsqu’elle ne travaillera plus avec elle ! Et puis, je trouve qu’elle n’a pas été une bonne ministre”. Un énième coup de gueule, de la part de l’animateur qui terminera sur cette dernière parole: “Finalement, elle a bien fait de faire de la télé : c’est un grand bien pour la politique”.
