L’ex call girl est sur le point de devenir un objet luxueux. Encensée par le célèbre couturier Jean Paul Gauthier, la muse de Karl Lagerfeld a misé sur la transparence hier soir lors de l’ouverture sucrée de son salon de thé-boudoir, dans la capitale française. Sa boutique est située dans le prestigieux quartier des Champs-Elysées. La jeune femme de 21 ans y a donné une soirée de bienvenue en compagnie d’une pluie de people et de journalistes tous venus pour saluer le travail de la célèbre blonde. Parmi ses hôtes, Nikos Aliagas, Béatrice Dalle, Laurence Ferrari et Audrey Pulvar étaient présents pour cette inauguration. Surprenante, la créatrice de mode était tout simplement divine et s’est faufilée dans l’assistance pour répondre aux nombreuses questions posées par la presse. Pour accueillir ses convives, la sulfureuse Zahia avait opté pour un choix délicat et stratégique: la transparence, le chic et le glamour. D’après le quotidien Le Parisien : “Seules quelques parties du corps de la divine Zahia étaient habilement camouflées”. Pour l’occasion, la modeuse a osé une tenue ultra sexy. Vêtue d’une robe couleur chair, fabriquée dans un voile léger, la styliste affichait ainsi ses merveilleuses courbes et sa silhouette si voluptueuse. Au pieds, des escarpins ouverts suivie d’une démarche de félin… La jolie blonde n’en finit plus de grimper. Avec son physique de poupée barbie version 2013, Zahia correspond à l’image de la courtisane française des temps modernes. Elle séduit les créateurs de mode et représente une icône du fast fashion. Mais Zahia c’est avant tout une jeune femme figée, féérique et presque irréelle. La starlette est ravissante et se tient comme une petite reine.” En un mot, ” cette créature est fascinante”. Zahia l’énigmatique autodidacte apporte un vent de fraicheur dans la modosphère..
Espérons que cette ascension fulgurante ne soit pas éphémère… Et que la sirène ne finisse pas comme toutes ces poupées en silicones interchangeables, utilisables et jetables à volonté: sur un podium aujourd’hui, demain aux oubliettes…
